J'ai horreur de tout ce qui touche à la psychanalyse ou la psychiatrie, enfin, tout ce qui est psy. Faire allusion au "cas Gatti" ou tout autre cas similaire comme étant pathologique ça me met hors de moi. Et ceci pour la bonne raison qu'il est impossible de classer les êtres humains dans des carcans précis bien établis. Il existe peut-être des tendances ou des lignes grossières, mais pour moi il existe surtout des individus tous différents les uns des autres. Il n’y a absolument rien qui est lié, toutes les combinaisons sont possibles.
Il y a deux façons d’étudier l’être humain : - comme une machine - comme… justement un être humain.
Il est pratiquement impossible d’avoir un jugement vraiment objectif sur une personne sans faire intervenir le facteur émotion. Que ce soit l’émotion de celui qui juge ou de celui qui est jugé.
K. « Gatti considère que des témoignages sont des "preuves". Depuis des années les sceptiques de ce forum lui disent que "non" et qu'il faudrait chercher autre chose pour les convaincre. Gatti s'entête! »
G. Je vous fais remarquer tout de même que J.F. a suggéré d’approfondir les témoignages en s’éloignant du groupe de personnes directement concernées, de manière à ajouter des éléments positivement convergents pour défendre ses dire. Ça peut aider pour motiver un sceptique moins dur à aller plus loin dans d’autres démarches. C’est vrai que même cette suggestion Gatti ne semble pas en tenir compte. Je pense que c’est une question de temps, il ne peut pas tout faire en même temps et injecte des copié-collés rapides sur le forum pour faire patienter (en obtenant l’effet inverse, j’en conviens).
Ghost
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