Hum, … je ne vais pas reprendre la discussion du début. L’hypocrite que vous êtes tente-t-il de faire comme si je n’avais pas posté une vingtaine de messages avant celui là qui explique bien le « problème » ou plutôt le constat ?
Voici ce que Platecarpus disait :
P : Et ça aussi, c'est une loi générale - en fait, nous voyons exactement ce que nous nous attendrions à voir si ces différents gènes étaient issus de la duplication récente d'un gène unique.
Ma réponse :
J : Hélas non ! Le génome de Mycoplasma pneumoniae est disponible ici :
http://www.zmbh.uni-heidelberg.de/M_pneumoniae/genome/Get_orf.html
Il ne faut pas avoir peur d’aller sur le terrain. Je conseil d’ailleurs à tous le monde du forum intéressé par le débat à aller jeter un coup d’œil. Sur la page même on peut constater que les séquences d’acides aminées des 677 protéines varient entre 80 à 1300 aa (environ). Les séquences d’ADN varient donc d’environ 300 à 4000 bases. Étonnant pour un génome issue d’un « gène ancestral » et ceci par variation « d’un faible nombre de bases » [PlateC] d’un gène à l’autre.
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En dehors de toutes interprétations créationnistes ou évolutionnistes, le génome de Mycoplasma pneumoniae prouve le contraire de ce que Platecarpus rapporte comme une prédiction de l’évolution. Désolé.
Ratodez autant que vous voulez, vous êtes très bon là dedans. Mais ne considérez pas ceci comme une réfutation tant que vous n’expliquerez pas comment l’évolution aurait pu prédire une telle disparité dans les séquences de ce génome. Franchement, dites-moi pourquoi je devrais croire que ce génome est issue d’un gène ancestral.
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