Peut-être connais-tu assez bien le défi sceptique pour répondre à une question que je me pose depuis un bon bout de temps: quel est le montage financier de l'opération ? Même si la probabilité d'un gagnant est infinitésimale, il doit sûrement y avoir un «plan B», au cas où. Et en posant l'hypothèse qu'une organisation sceptique de «ligue intermédiaire» ne possède ni ces fonds, ni les actifs immobiliers à mettre en garantie, cela veut-il dire qu'il faut trouver un «banquier aventureux» ? Un tel phénomène n'est-il pas aussi rare qu'un «paranormaleux gagnant» ?
L'autre scénario que je vois, c'est que l'association sceptique se réserve tous les droits de publication, de A à Z, de l'éventuel «phénomène paranormal démontré», (publication écrite, télé, etc..) et fait au préallable signer un contrat à cet effet aux candidats. Mais encore là, ça prend un banquier drôlement déluré pour miser à l'avance sur ces retombées.
Qu'est-ce que t'en penses ?
korg
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