Tu dis : "Dans ton "pseudo-modèle" à toi, s'il est matérialiste et basé sur la science, normalement rien ne peut survivre, non?"
C'est en plein justement pour ça que j'avais mis le SI en gras. Si c'étatit à refaire, je le mettrais en gros-gras, style
Je raisonnais donc en mode hyper-conditionnel. Je pensais que c'était clair. ;-)
Tu dis aussi : "Sur quoi te bases-tu pour affirmer que "quelque chose" même d'aussi ténu que ce que tu décris puisse survivre à la destruction du corps et du cerveau?"
Évoquer une possibilité ténue, c'est très très loin d'affirmer. Tu déformes complètement mes propos. T'es-tu relu? ;-)
Ce que je veux dire, c'est (à peu de choses près) que, étant donné le mystère sous-jacent à l'affaire, je ne peux présumer de son fin-fond. Je laisse une chance au coureur. Mais le plus loin où je le laisse aller, c'est tant qu'il reste consistant avec la neurologie et l'animalité de l'homme.
Admets-tu que la mémoire, les émotions et la volonté sont "fabriqués" par le cerveau? Même chose, certainement, pour ma chatte.
Si tu l'admets, tu devrais aussi admettre que SI
il y a survie, elle n'est certainement pas du tout à notre image.
Hors de la matière, de l'espace et du temps, sans mémoire, sans émotions et sans volonté, pas facile de faire des mathématiques.
J'espère que ça se tient un tipeu, mon affaire.
Denis
|