Salut aussi à Net.
NET: Je me demande comment les théologiens feront pour régler ce nouveau petit problème.
JÉSUS: Comment les sceptiques font-ils pour régler ce "petit problème"?
Vous semblez être d'accord sur trois points seulement:
1 - L'existence de l'âme est un problème.
2 - Vous supposez que certains ont réglé (ou vont régler) ce problème.
3 - Vous vous intéressez à leurs hypothétiques solutions.
Sur tous le reste, vous semblez avoir des vues passablement opposées.
Net pense que le problème est petit. Jésus ne le pense qu'entre guillemets. Net suppose (à tort, je pense) qu'il s'agit d'un problème nouveau. Sur ce point, Jésus ne se prononce pas.
Net se soucie des opinions des théologiens. Jésus, lui, s'intéresse plutôt à celles des sceptiques.
Je pense que les opinions des sceptiques sont plus dispersées que celles des théologiens. N'étant pas plus théologien que mon chat et n'osant pas m'aventurer dans l'éventail des positions sceptiques, j'ai bien du mal à vous répondre.
Ai-je raison de supposer que votre question principale porte plus sur l'immortalité de l'âme (conditionnellement à son existence) que sur son existence elle-même?
Cordialités,
Denis
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