La position naturelle d'une chaise est de demeuré en place. Je ne dit pas que vous avez un effet sur la chaise, dans votre exemple de lévitation. Je dit que vous avez un effet qui perturbe l'énergie de celui qui essai de léviter la chaise.
"vous affirmez que d'une certaine manière chacun «choisit» sa position sociale et que si des populations souffrent c'est qu'elles (enfin, leur âme) ont choisi de le faire, et non parce qu'elles n'ont pas d'âme. Ce n'est pas la première fois que j'entends ça, mais ça me donne encore des boutons. Êtes-vous vraiment prêt à aller au bout des conséquences de cette affirmation, au niveau social, économique, dans ses implications pour la justice, la paix, la guerre, le crime, etc.?"
Je vais essayer d'être concis puisque le sujet pourrait remplir des pages.
L'âme placée dans un l'univers parfait possédait une connaissance parfaite et vivait alors un bonheur parfait. Un peu monotone mais très confortable. Elle n'avait pas l'expérience de cette connaissance et décida qu'il serait bon de se connaître pleinement. Si vous êtes toujours en haut vous ne pouvez le savoir que si il y un bas. Vous pouvez expérimenter et reconnaître la justice que si il existe une injustice. La paix que si il y la guerre. Faire l'expérience dans le physique est devenu son moyen.
"Diriez-vous, par exemple, qu'Hitler a aidé les Juifs à vivre des expériences «pertinentes»?"
La mort n'est pas une fin pour l'âme, pas plus pour les Juifs que pour toute autre personne. Il a permis que des millions de gens prennent conscience d'un trait de la personnalité humaine et inciter alors des actions de rectitude sociales et politiques prévenant ce comportement.
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