Il s'agit là de perceptions extrèmement sujettes aux a priori, et influencées par l'histoire personnelle, l'orientation sexuelle, et le type précis de pub que l'on veut prendre en considération, par exemple. Rien qui reposent sur du facilement démontrable.

L'analogie avec la pénicilline est très très bancale, l'efficacité de la pénicilline n'étant pas influencée par la culture. D'ailleurs, je me demande sur quoi tu te bases pour formuler cette affirmation péremptoire sur les sanatoriums?

Et puis, je suis étonné que tu sois surpris que je remette les choses en question ;-) J'aimerai bien savoir ce qu'en pense Stéphane, je me demande si c'est - ici encore - une différence de perception "générationnelle"? La réponse de "Korg" me laisse croire à quelque chose de tel, mais je peux (facilement, je me base sur du vent là) me tromper.

GA: "Essai de me trouve-moi une exception dans la publicité au Québec ..."

J'avoue que je sèche... probablement parce que je n'écoutais déjà pas beaucoup la télé? Et aussi parce que je ne vois pas le type de pub que tu as en tête*. Par contre, je me demande si on ne trouvera pas un nombre équivalent de pubs utilisant une femme quasi à poil pour équilibrer les choses (en France, il y a beaucoup plus de ce type d'annonce qu'au Québec, mais quand même)?

Jean-François

* Par exemple, les annonces pour Bell ne sont pas féministes, malgré les personnages représentés qui ne sont pas toujours flatteurs. Les pubs pour le Journal de Montréal utilisant un acteur qui faisait des commentaires sur les annonces classées non plus.

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