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NDE: Apport inexpliqué d'informations


Re: Re:R:R:R:Expérience de décorporation induite par stimulation cérébrale -- Mikaël
Posté par JulesDeToulon , Sep 20,2002,16:45 Index  Forum

Bravo et merci mikaël: vous êtes plus efficace que moi.

Effectivement nous cherchions des faits objectifs... et bien en voila Jean -François!

Sur http://perso.wanadoo.fr/iands-france.org/articles/juste.html :

"....Voici donc, en résumé, les faits qui posent un problème :

Perception d’un environnement (au sens large du terme) manifestement sans le secours des organes des sens (nombre de témoignages ont pu être corroborés dans lesquels le témoin ne pouvait pas physiquement avoir perçu ce qu’il rapporte).
Dans le même ordre d’idée, apport inexplicable d’information (dont l’exemple le plus prosaïque est l’histoire de la chaussure dans la gouttière de l’hôpital, mais il y en a d’autres, tels ces témoins (étudiés en particulier par Michael Sabom (1983)), qui ont « assisté » à leur propre réanimation et pouvaient décrire les gestes de l’équipe de réa, et en particulier le fonctionnement d’un défibrillateur..).


Communication (toujours au sens large) uni- ou bilatérale, sans le secours des organes normalement dédiés à cet usage.
Particularités perceptives, que l’on rencontre couramment : Perception « globale », non visuelle, identification à l’objet ou à l’environnement « observé », perception sur 360°, impression que les objets observés sont vus dans leur totalité par transparence, perception simultanée de la scène depuis plusieurs points de vue, « éclairage » ne respectant pas les lois de l’optique, communication non verbale, perception de sons sans le secours de l’appareil auditif, perception (vérifiée !) des pensées de participants à la scène, etc.."

L' auteur est le Dr. J-P Jourdan qui cite également un récit du dr moody. Je ne sais pas en quelle estime vous tenez ce dernier?

Et puis cet autre récit sur http://perso.wanadoo.fr/iands-france.org/articles/lesdim.html :

"....Dans ce témoignage, nous disposons tout d’abord de deux éléments précis qui démontrent une acquisition d’information objective et vérifiée :
- Ce qu’a vu Pam Reynolds durant son EMI, c’est la scie à trépaner que tenait le chirurgien, ainsi que la boite contenant ses accessoires. Or une scie à trépaner (le Dr Sabom avoue lui même qu’en tant que cardiologue, il ne savait pas à quoi elle pouvait ressembler) fait vraiment penser à une brosse à dents électrique, et la boite d’accessoires est tout à fait semblable à une boite à outils peinte en blanc.
- Le dialogue entre chirurgien et cardiologue que la patiente dit avoir perçu a effectivement eu lieu, le rapport enregistré de l’intervention a permis de le vérifier.

Venons en maintenant au point qui en fait un témoignage exceptionnellement intéressant : la confrontation entre le récit de la patiente et les enregistrements de l’intervention permet en effet de situer dans le temps le moment précis où s’est déroulée son expérience. A cet instant, les enregistrements détaillés montrent que le corps et le cerveau étaient vidés de leur sang afin de pouvoir aborder l’anévrysme sans risque. Mais laissons parler le Dr.Sabom :

« Nous avons les enregistrements médicaux du moment ou cette NDE s’est produite, c’est l’une des premières fois que ça arrive. Nous pouvons étudier l’activité EEG. Nous pouvons aussi étudier tout ce qui s’est passé dans le corps physique au moment où nous savons que cette expérience s’est produite. Cela nous permet de répondre à des questions telles que : « La NDE est-elle déclenchée par une crise du lobe temporal, ou par une certaine activité électrique dans le cerveau ? » Eh bien la réponse est non , car les ondes cérébrales étaient plates et le tronc cérébral inactif au moment précis où cette expérience avait lieu. »

Il est donc évident et irréfutable que toutes les activités du cerveau (aussi bien les activités de base que les fonctions supérieures) avaient cessé à ce moment là, et il est clair que la conscience que Pam a eu de son expérience, les perceptions qu’elle a eu de son environnement, ainsi que celles du dialogue entre le chirurgien et la cardiologue ne peuvent être le résultat d’une quelconque activité cérébrale...."

Qu'en pensez-vous Jean-François?





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