Maintenant, si vous n'aimez pas cette réponse, parce que je ne dis pas, «l'amour mesure 3,456 angstroms» ou «pèse 60 tonnes», ou «a une intensité de 3,4568 tesla» (wow!), eh bien, à vous de vous y pencher: on manque toujours de chercheurs (moi mon sujet préféré, en tant que criminologue, c'est plutôt la haine). Je n'ai jamais dit que la science expliquait tout, ni expliquera tout un jour. En fait, plus on trouve, plus on trouve de questions. C'est donc une entreprise jamais complète. C'est donc aussi un ANTI-dogme. Ce que je dis, c'est qu'il est inutile de crier que l'amour n'est pas une donnée scientifique/empirique. C'en est une, jusqu'à un certain point. Et le reste, c'est vous qui le fabriquez.
Par ailleurs, je ne vois pas où vous voulez en venir. De toute évidence, ce n'est pas l'amour qui vous intéresse (;-)). D'après vous, c'est quoi l'amour? Et en quoi est-ce que ça infirme l'attitude sceptique? (attention, l'attitude sceptique, c'est pas «nous on sait ce qu'est l'amour» mais bien «comment faites-vous pour savoir mieux que nous ce qu'est l'amour?» Montrez-nous votre savoir, nous sommes tout ouïe). Where's the beef?
Vous dites:
«Svp, un peu de bonne foi, a moins que botre plaisir se résume à tirer sur les nouveau coq, convaincu de votre droit de supériorité?»
Mais où est-ce que je vous ai attaqué, au juste? On ne peut pas attaquer votre message, puisque vous ne dites rien. Je vous ai répondu de façon parfaitement honnête, sans rhétorique, sans frime et sans le mépris qui semble déjà être votre ton préféré (les anti-sceptiques sont pas les seuls à pouvoir jouer aux victimes, sniff-boou).
La nature de l'amour, c'est une question personnelle, pour vous? Du calme. Vous attendiez-vous à ce que tous les sceptiques du forum lèvent les bras et disent, «il a raison, je n'ai jamais pensé à ça! L'amour! Merde que la science est mal foutue! Comment ai-je pu me fourrer le doigt dans l'oeil à ce point?» Voyons.
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