Qu'en savez-vous, qu'il s'agisse de la mienne ou de celle des membres des professions médicales avec qui je travaille, d'ailleurs ? A nouveau, vous m'assignez arbitrairement une profession, des émotions, des goûts et des connaissances, en tombant, comme d'habitude, à côté.
J'ai lu, avec des larmes de rire dans les yeux, vos derniers échanges avec Jean-François, Stéphane et Gaël, et vous finissez, malgré votre prétension du contraire, complètement défait.
Avec une patience qui les honore, ils se sont fendus de longues analyses de chaque partie de vos propos et ont démonté comme il convient chacun de vos pseudo-arguments. Comme tout le monde vous l'a fait remarquer à de multiples reprises, vous êtes dénué de la moindre originalité: vous croyez avoir réinventé l'eau chaude mais ne faites qu'annoner, de réponse en réponse, de vieilles tautologies et raisonnements circulaires classiques, à savoir "je crois que c'est comme cela, donc c'est comme cela", etc, etc, jusqu'à plus soif.
"Gene: Votre culture vous donne l'illusion d'un plein alors que c'est un vide."
Se glorifier comme vous le faites de son ignorance, et de son refus de la combler, de la plupart des sujets dont on prétend traiter est une attitude infantile, mais hélas très répandue chez les gens de votre espèce, comme l'est le fait de se réfugier ensuite derrière cette ignorance des connaissances formelles pour justifier le manque de clarté ou de cohérence de ses arguments: relisez ce que vous avez écrit de votre compréhension des règles d'argumentation auxquelles se réfère Boveresse, réfléchissez un peu (pour une fois) et vous comprendrez peut-être pourquoi vous passez une fois de plus pour un imbécile et suscitez systématiquement l'hilarité chez les lecteurs de passage, membres des professions médicales comprises.
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