GATTI: D'accord vous allez pouvoir tester autant mes réactions que mes compétences !…

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-Premier élément:

Mise en bouche en attendant que l'émission de ARTE soit retrouvée. J'ai commencé les tractations avec les responsable d' Archimède qui auraient dû la mettre dans leurs archives en ligne. Pas de chance pour moi , il semble rait que c'est un oubli et que l'erreur doit être réparée sous peu.

En attendant, j'ai quand même une bonne nouvelle car j'ai retrouvé la fiche que j'avais établie le 12 avril. Il s'avère qu'il s'agit en réalité de l'émission Archimede du Mardi 11 avril 2000 diffusée sur la chaîne européenne ARTE à 19 heures.

Un élément concret que je n'avais plus en tête apparaît sur cette fiche: "Les physiciens anglais ont fait la preuve que l'EEC est plat pendant la NDE. Cet élément est indiscutable, c'est une preuve (et pas une supposition) car les circonstances de l'opération se prêtaient a l'avènement de cette preuve par recoupement avec les témoignages de plusieurs témoins. La qualité des chirurgiens et des témoins ne prête front a aucun doute. Je sais que nos deux zigotos vont hurler que ce n'est pas de la physique. Je leur réponds d'avance que la physique du cerveau leur donnera un jour prochain des sueurs froides car leurs inébranlables certitudes rationalistes ne tiennent pas qu'a un cheveux mais plutôt qu'a un synapse .

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- Second élément ne concernant pas les NDE mais qu'il faut bien avoir en tête avant de se lancer dans des spéculations hâtives : Le seul et unique problème est celui des connaissances fondamentales médicales sur la conscience

le dossier Schäfer

Parfaitement conscient, mais incapable du moindre mouvement, Manfred Schäfer a enduré une intervention chirurgicale extrêmement douloureuse sans pouvoir alerter les médecins.

On peut mesurer précisément la pression sanguine, le pouls, la respiration et la teneur en oxygène du patient pendant l'opération, mais pas son état de conscience.

Le patient serait-il réveillé ? Aucune variation des courbes mesurées ne permet de le savoir en toute certitude. Seule solution : mesurer directement l'état du cerveau. Réveillé ou endormi ? telle est la question qui préoccupe les scientifiques du monde entier depuis plus de 60 ans. La réponse réside quelque part dans les courants électriques qui parcourent le cerveau.

Dans le cadre d'un projet commun du Fonds de recherche bavarois, les scientifiques tentent de mettre au point un moniteur d'anesthésie. Sa mission consisterait à déterminer la profondeur de l'anesthésie et à prévenir d'un éventuel réveil pendant l'opération. Ce moniteur utiliserait pour cela les courants électriques cérébraux du patient.
Ces courants sont liés à l'activité électrique du cerveau. Ils sont créés par les quelques dix milliards de neurones, qui déclenchent un véritable feu d'artifice d'impulsions électriques. Les chercheurs ont constaté que les neurones se regroupent en associations. Ces associations se raccordent les unes aux autres au sein de réseaux. Tous ces réseaux coordonnent ensuite leurs activités à la manière des instruments d'un orchestre. Les anesthésiants s'opposent à cette activité synchronisée. Les orchestres neuronaux font relâche. C'est l'inconscience. Activité ou relâche ? Conscience ou anesthésie ? Aujourd'hui, les chercheurs sont capables de répondre à l'aide des courants électriques cérébraux. On approche de la solution et dans 5 ans, les moniteurs d'anesthésie devraient supprimer tout risque de réveil accidentel pendant une opération.
En revanche, on ignore encore comment les anesthésiants agissent sur la conscience.
Les expérimentations animales – comme ici à l'université de Brême – sont indispensables à l'avancement des recherches.

Les scientifiques de Brême sont sur la piste de la conscience.

Ils espèrent non seulement enrichir leurs connaissances fondamentales, mais aussi découvrir de nouvelles formes d'anesthésie.

Mais comment apparaît la conscience ?

Nous supposons aujourd'hui que la conscience apparaît dans le cerveau quand celui-ci se construit une représentation de son propre état. En fait, quelqu'un a conscience de son état intérieur non seulement quand il se trouve dans cet état, mais s'il sait en plus qu'il est dans cet état. Le cerveau doit donc disposer d'une représentation de son propre état.
Les différents orchestres neuronaux ne suffisent pas à produire de la conscience. Il faut donc supposer l'existence d'une instance supérieure. Les spécialistes parlent de méta-représentation. Cette instance regroupe tous les orchestres actifs à un moment donné au sein d'une sorte d'orchestre supérieur – la conscience.

On suppose qu'il existe une synapse donnée, la synapse NMDA, qui se charge de cette liaison. Si la synapse est activée, il se forme des méta-représentations ; à l'inverse, si la synapse est inactive – par exemple après une intervention pharmacologique –, aucune méta-représentation ne peut se former et on a donc un état d'inconscience.
La synapse NMDA serait donc une sorte de contrôleur de la conscience. Elle détermine les activités simultanées du cerveau et assure leur bonne coordination. L'idée des scientifiques de Brême est audacieuse : la conscience dépendrait du fonctionnement d'un type de synapse bien particulier.
Sur une coupe de cerveau de rat. En rouge, les contrôleurs de conscience actifs. Le cerveau est éveillé. Après l'administration d'un anesthésiant :

Plus une seule synapse n'est active. Le cerveau est en état d'inconscience;

FIN du dossier Schäfer

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GATTI: Le somnambulisme est le seul dossier par lequel je pense avoir les moyens de ridiculiser Jean-François en intervenant sur son propre terrain. Les intellectuels suspicieux, orgueilleux comme lui qui sont prêts a tout pur se faire "mousser" méritent une petite leçon; il mérite une petite leçon* que je vais lui donner. Pour commencer , en ce qui concerne les diagrammes des analyses de la sidérite contenue dans la clef "poltergeist" il serait facile à JF de contacter l'intéressé Laurent Corbin Professeur à l'université de Caen mais comme il est spécialiste de l'embrouille , il s'en garde bien . J'ai le téléphone personnel de Laurent CORBIN ; chiche ! (je le communiquerai en privé a toute personne voulant avancer au lieu de noyer les initiatives utiles qui éprouverait le besoin de vérifier que je ne mène personne en bateau. Laurent COBIN qui était président fondateur du CRPN(association 1901) comptait dans ses rangs en 1983 feu Jean Taviere (ingénieur en monocristaux) membre de l'association à part entière. L C toujours en activité à l'université de Caen est en mesure de confirmer mes dires autant pour ce qui concerne les diagrammes qu'il ma donné pour information, qu'en ce qui concerne le morceau de la clef du garage Hubert qu'il m'a confié a toute fins utiles. Nous avons d'ailleurs mis plus d'un an pour la retrouver dans les placards de L'IMI (Institut Metapsychique International) où elle s'était égarée et sans plus intéresser personne. Elle y serait encore si Je n'avais pas pressé LC de la réclamer sans ménagement ; celle-ci était facilement identifiable par des repères placés judicieusement par JT. J'ai donc en ma possession les diagrammes et les échantillons d'acier contenant a leur surface de la sidérite vrillée et une copie du rapport Hubert beaucoup plus complète que ce qui a été publié dans le livre de Sylvain Michelet "Lorsque la maison crie". Si je suis un irresponsable affabulateur comme vous le dites souvent; VOUS POURRIEZ VERIFIER VOUS MEME AVEC UN ECHANTILLON que je tiens A VOTRE DISPOSITION. Si vous ne cherchez pas a vérifier la chose (alors que je vous en donne facilement les moyens) c'est bien que vous êtes un fouille merde sans aucune envie de travailler sur les questions paranormales. Votre seul objectif ici est d'empêcher les gens de travailler concrètement pour que les sceptiques ne puissent pas se trouver en défaut, plutôt que de marquer contre votre camp, vous aimez mieux vous opposer par tous ls moyens a une grande découverte fondamentale . La preuve , nous parlons de somnambulisme et vous attaquez de nouveau sur les cristaux vrillés. Vous n'êtes qu'un farfadet sans aucune suite dans les idées qui cherche uniquement a rendre brouillon le fil de ma conversation en faisant de l'obstruction déguisée en diversion (J'ai déjà dit cela cent fois).
D'ailleurs vous dites :" Le seul sentiment qui m'anime est l'envie de tester vos réactions" j'ai le regret de vous annoncer que le forum des sceptique n'est pas fait pour que des intellectuels barjots testent les réactions des autres intervenants en prenant ceux-ci pour des cobayes ( à leur insu ) .Le comble c'est que vous me demandez d'aller "sévir" ailleurs; (de quel droit! Dans quel but inavouable ?)
Attendez un peu et vous comprendrez mieux qu'ici les choses peuvent être constructives , que vous le vouliez ou non!.

Suivi