Même si l'on se réfère aux croyants, la notion de "silence de dieu(x)" est relative, certains étant sincèrement persuadés d'avoir obtenu signes et réponses de leur divinité.
Pour un (ou plutôt cette) athée, la constatation de ce fameux "silence divin" est en effet un signe de non-existence, donc du peu d'intérêt à vouloir donner nom et attributs à une non-entité.
Votre interrogation suivante "si dieu existe, pourquoi ce silence" est pure spéculation sur la base d'une question piègée, typique de la rhétorique religieuse, soit, confronté à l'absence, comment justifier de croire en une présence.
*dans le sens "adhérents à une croyance religieuse", pas dans celui, dérogatoire, de "crédule".
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