Le Q.I. et l’écart-type
Salut Denis. Voici un extrait du livre. Mille excuses si je n’ai pas traduit... il me semble que tout le monde ici comprend un tipeu l’anglais ;-)
In a variety of tests conducted by Dona Hendrickson, to test their theory of the biological basis of intelligence, she found a standard deviation of 50 for the girls and 59 for the boys. Although this ratio may not seem very significant at first sight, she noted that it has a large effect on the absolute numbers of women and men that will be found at the extreme IQ distribution. Taking the population of the UK at 55 million, Table 2 shows the ratio of men to women changes markedly as the IQ scale increases.
Table 2 Number of men and women at the extreme of IQ distribution
IQ over Expected number Expected number
of men in pop. of women in pop.
of 27.5m of 27.5m
100 13,750,000 13,750,000
115 4,833,033 3,713,460
130 858,288 376,680
145 71,463 12,960
160 2,709 149
175 47 less than 1
At IQ 130, the level thought to represent the approximate mean of students undertaking post-graduate studies at university, the men outnumber women by more than 2 to 1. [...]
(Note that these calculations imply more male morons than female as well as more geniuses.)
Total Chess, page 108.
Évariste reprend la plume... ou le clavier.
La dernière phrase de la citation (le gras est de moi), si elle reflète la réalité, pourrait à elle seule expliquer bien des choses, par exemple pourquoi il y a peu de femmes de premier plan en mathématiques, aux échecs, etc. Bien sûr, culturellement les femmes on été désavantagées au cours de l’Histoire pour se réaliser pleinement. En tout cas, la théorie de l’évolution nous dirait peut-être qu’au fil des millénaires de l’Humanité, il était plus vital pour un homme que pour une femme d’être «supérieurement» intelligent, par exemple pour échapper à ses prédateurs aussi bien que pour débusquer ses proies, tout comme pour protéger son territoire aussi bien que pour l'agrandir.
Évariste
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