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Somanbulisme: EPILOGUE.(La petite leçon pour JF et chose faite)


Posted by GATTI , Oct 20,2000,03:44 Index  Forum

Le Docteur Jean-Pierre Jourdan dont l'adresse mail est la suivante: Jean-Pierre.Jourdan2@wanadoo.fr


Specialiste des NDE ,il dispose de l'enregistrement de la K7 de l'émission de ARTE du 12 avril 2000 qui comporte pas mal de references au sujet d'enquêtes officielles faites par des personnes au dessus de totu soupçons.

Position du Dr Jourdan sur la vue sans les yeux sur laquelle JF devrait donner son avis :

"Ce qui me chiffonne le plus, voyez vous, c'est que quelqu'un qui est en arrêt cardiaque sur une table de réa (ou incarcéré dans la carcasse de sa voiture, ou flottant entre deux eaux durant une noyade, ou dans le coma à la suite d'une électrocution, les exemples ne manquent pas) puisse à son réveil (ou parfois 10 ans après, ce genre de chose étant difficile à admettre mais encore plus à faire admettre à quelqu'un d'autre..) non seulement raconter la scène telle qu'elle s'est déroulée, mais aussi rapporter des détails matériels ou techniques théoriquement hors de portée du témoin (c'est à dire que même s'il avait été conscient, il lui aurait été difficile d'aller voir le numéro de série du défibrillateur, ou la couleur des machines à laver de l'hopital, ou de savoir qui était dans la salle d'attente (avec détails vestimentaires, précisions sur les discussions, et tout et tout!), ou de décrire le type de CEC utilisé, etc..
Tout se passe comme si, dans certaines circonstances, la conscience (aïe aïe, vaste programme..) pouvait percevoir (et mémoriser!) hors du concours des organes et filtres idoines..(je sais, quand on est quelqu'un de sérieux et respectable"
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extrait du livre:LA MORT TRANSFIGUREE, ouvrage collectif sous la direction d' Evelyne-Sarah Mercier. Ed. BELFOND

M.R.R., au moment de son expérience, à l'âge de 57 ans, était directeur d'une petite entreprise de fabrication de boyaux. Il était, en termes professionnels, « boyaudier » et se fournissait auprès des abattoirs de Lyon. En mars-avril 1992, il a fait trois infarctus et a vécu comme un calvaire son mois passé à l'hôpital. Il dit qu'il a maintenant une épée de Damoclès suspendue au-dessus de sa tête et se demande comment cet illustre prédécesseur a terminé sa vie. Car il n'a, heureusement, pas perdu le sens de l'humour ni sa vivacité d'esprit. M.R.R., en 1981, dut subir une opération à coeur ouvert en circulation extra-corporelle. Il précise régulièrement: «Je n'avais jamais vu auparavant de bloc opératoire, et je suis entré et sorti inconscient de celui où l'on m'a opéré» Cette remarque est très importante.
J'ai donc attendu fort longtemps, dans la rotonde et dans le froid, voyant défiler le spectacle horrible des opérés, qu'on me fasse les piqûres pré-opératoires. Je me suis réveillé en réanimation. Pendant deux jours, j'ai été incapable de soulever les paupières, je ne voyais strictement rien. C'est au bout de quelques jours que le souvenir du bloc m'est revenu :
J'ai fait une sortie instantanée de mon corps et me suis retrouvé dans une sorte d'antichambre de la mort. Je ne vois pas d'autre mot pour désigner cet espace. J'étais moi-même un pur esprit, une pensée. J'étais bien, heureux, sans besoin de respirer, en apesanteur, ne désirant rien. Et j'attendais une décision.
Je me suis alors demandé où se trouvait ma voiture (mon corps) et me suis retrouvé aussitôt au plafond, voyant une douzaine de nuques. Il y avait mon corps, recouvert par les draps, caché par les nuques. Mon attention a été attirée par un individu, assis sur une chaise, ayant l'air de s'ennuyer. Il était devant une machine horizontale, surveillant des cadrans. Je voyais un bras avec une roulette au bout, qui tournait. Du corps, sur la table d'opération, sortait un tuyau qui partait vers cette machine. Un autre en sortait. Je me suis dit: «Tiens, on dirait une parmentière!» La parmentière est une machine industrielle qui sert à éplucher les patates. Ce qui m'ennuie, c'est de penser que là, même parti en fumée, évaporé, je continuais à penser en boyaudier! J'espère qu'il ne faudra pas continuer à travailler de l'autre côté!
Puis, je suis reparti dans mon tunnel-antichambre. Pas de paroi, le vide, rien de matériel, un passage dans une autre dimension. Il y avait deux sorties pour ce tunnel, l'une vers le monde matériel, l'autre, en contrebas, vers une autre dimension, autre chose, d'où personne n'est jamais revenu.
Cela appartient à l'inimaginable pour ceux qui ne l'ont pas vécu. J'ai été balancé dans une situation incroyable, vécue finalement de façon totalement passive. Rien ne dépendait de moi et rien ne m'inquiétait. La décision était en train de se prendre. Elle relevait d'une volonté inflexible, inutile de marchander! Qui a pris la décision? Je le saurai quand je serai mort. Mon dossier n'était-il pas à jour? J'ai l'impression qu'on m'a signifié : Continuez à en baver encore un peu! Je devais tourner et je n'étais pas heureux du tout de devoir recommencer à respirer !
J'ai eu en tout 17 opérations et une seule expérience comme celle-là, lors de l'intervention à coeur ouvert. Je pense que cela s'est produit au moment du débranchement-rebranchement de la machine.
Ce qui est terrible, c'est de vouloir en parler avec des médecins, des anesthésistes. Je me suis lié à l'un d'eux, mais il m'a grondé: " Vous êtes drogué, même l'air que vous respirez n'est pas naturel! ". On vous prend pour un fou. Je n'ai pas insisté parce que je me suis dit : Un de ces quatre matins, ils vont m'envoyer chez le psychiatre!
J'avais parlé de ce que j'avais vu à une infirmière avec qui j'avais sympathisé. Mais elle niait tout, me disant que toutes ces machines sont verticales, comme les ordinateurs. Sur une émission d'Antenne 2, à la télévision, j'ai guetté: la machine était effectivement verticale. Et puis, il y a deux/trois ans, la télévision régionale lyonnaise a retransmis une première coeur-poumons. Et qu'est-ce que j'ai vu? La même machine que la mienne, la parmentière, l'horizontale! Je me suis informé : à l'époque il n'y avait qu'un seul bloc équipé avec celle-ci. L'infirmière pouvait ne pas le savoir.
Ce jour a été très important pour moi. Je tenais enfin un os. J'avais la preuve que je n'avais pas rêvé. Maintenant, le médecin qui me tapote encore la joue avec condescendance, en me disant que ce sont les drogues, je ne le laisserai pas faire. Je sens que je vais me fâcher.

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GATTI: Ce temoignage n'est qu'un exemple parmi beaucoup d'autres ayant les mêmes similitudes sur la vue sans les yeux (ou conscience extérieure au corps)


Je pense que la petite leçon que je m'étais promis de donner à Jean-François est une affaire entendue. Je ne prendrai pas la peine "d'aller au charbon" en perdant mon temps a lui mettre sous le nez les dizaines d'autres témoignages du même genre avec des preuves claires et précises. La mauvaise foi du sceptique lui fait dire que ce ne sont pas des preuves. Je pense qu'il est inutile de vouloir faire du constructif avec des gens qui se moquent de la réalité a ce point; c'est pourquoi je ne me laisserai pas entraîner dans des discussions fatigantes avec des JF qui savent très bien que mes arguments sont recevables par la science mais qui n'ont qu'un seul but : NOUS PIQUER AU VIF* pour nous fatiguer afin qu'on abandonne la partie.
Comme c'est le dernier qui parle qui donne l'impression d'avoir raison, le tour est joué.

*EN NOUS PRENANT POUR DES COBAYES DE LABORATOIRE (Le pôvre!)


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